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L’ingénieur ISAE‑Supméca

Un profil adapté à l'entreprise

Les ingénieurs ISAESupméca sont particulièrement appréciés par les entreprises. En plus de leurs compétences scientifiques poussées et de leur polyvalence en ingénierie mécanique, ils sont reconnus comme des ingénieurs de terrain avec :

  • une expérience industrielle de 12 mois minimum
  • Une expérience internationale de 6 mois en moyenne,
  • Le sens des responsabilités.

Ces atouts assurent à l’ingénieur ISAESupméca, étudiant comme apprenti, une excellente insertion professionnelle. La durée moyenne de recherche d’emploi est de moins d’un mois et plus de 70 % des ingénieurs ISAESupméca ont une proposition d’embauche avant la fin de leur stage en 3e année.

40,6 K€, c’est le salaire annuel moyen d’un ingénieur ISAESupméca à la première embauche.

 

Répartition des jeunes diplômés par secteur d’activité (par pourcentage)

 

6 % des diplômés poursuivent en thèse.

87 % des diplômés en emploi à leur sortie de l’école.

 

Répartition des diplômés par typologie de métiers (par pourcentage)

 

 

 

Clément, ingénieur développement chez Safran Transmission Systems

Clément Hiebel est diplômé de la promotion 2016, aujourd’hui il est ingénieur développement chez Safran Transmission Systems et travaille plus particulièrement sur le moteur Leap.

Tatiana PEDREIRAS, promo 2017
Ingénieure développement mécanique, Thales

Ingénieure ISAESupméca, Tatiana nous explique son recrutement chez Thales. En 3e année, elle avait choisi le parcours Simulation en conception mécanique : « Je voulais continuer à me spécifier dans tout ce qui est simulation numérique, conception, résistance des matériaux. » Lire l’entretien

Gwénaël MISSILLIER, promo 2017
Étudiant entrepreneur, créateur de l’entreprise Artist on Scene Paris

« Je voulais inventer un système d’insonorisation pour le musicien. Lorsque j’ai découvert le statut d’étudiant entrepreneur, j’ai eu une révélation. J’ai tout de suite déposé un dossier à la scolarité d’ISAESupméca, qui est rattaché à la PEPITE Vallée de Seine. Maintenant, j’ai créé la Silent Box. » Lire l’entretien